Günther Adulin puise son inspiration aux sources de différents mouvements poétiques, qu’il manie et combine selon ses idées et envies. Du romantisme lyrique au surréalisme libéré, il privilégie les poèmes courts et percutants, et considère sa feuille comme un ouvroir cathartique. Il aime jouer avec les mots, les sons, l’espace, et expérimente à sa guise par des textes à contraintes ou des calligrammes.