Qui ose dire que l’on devient le copier-coller de ce que l’on a vécu ? Il existe une exception dans tous les domaines, et l’auteur a fait partie de ceux-là. La réflexion facile clame « qui a bu boira, qui voit la violence devient violent ». Non, le mal-être peut être positif si l’on se met du bon côté, tel une balance romaine, ou l’on s’élève ou l’on s’abaisse. Le vaccin du bien-être, c’est toi qui le fabriques, le peaufines et tu cries « Non, je ne suis pas ça et ne le serai jamais. »