Jean Viel est un poète de l’ombre et du feu. Marqué par la maladie et les silences imposés, il écrit pour survivre, pour dire ce que le monde tait. Ses vers mêlent révolte et lucidité, tendresse et cendres. Après Tristitia et Orandi, Le chant des cendres poursuit sa quête d’une parole dressée. Chaque poème qu’il livre est une braise, fragile et brûlante, confiée au lecteur.